Le chef de l'État a annoncé ce vendredi après une nouvelle réunion de crise que le ministère de l'Intérieur allait disposer de nouveaux moyens pour faire face aux violences urbaines débutées mardi.
Emmanuel Macron a annoncé que des "moyens supplémentaires" allaient être déployés par le ministre de l'Intérieur, mais que l'état d'urgence ne serait pas instauré. Après trois nuits d'émeutes urbaines à la suite du décès du jeune Nahel lors d'un contrôle policier à Nanterre, le chef de l'État a pris la parole ce vendredi lors du Comité interministériel de crise qui s'est tenu au ministère de l'Intérieur.
"Le ministre de l'Intérieur aura à mobiliser des moyens supplémentaires", a assuré le président.
"Nous libérons à cette égard par une série de dispositions les forces et le Garde des sceaux s'assurera du suivi par une série de circulaires visant à la fois les majeurs et les mineurs qui ont pu être interpellés et seront déférés devant la justice dans les prochaines heures", a-t-il précisé.
Emmanuel Macron a annoncé que des "moyens supplémentaires" allaient être déployés par le ministre de l'Intérieur, mais que l'état d'urgence ne serait pas instauré. Après trois nuits d'émeutes urbaines à la suite du décès du jeune Nahel lors d'un contrôle policier à Nanterre, le chef de l'État a pris la parole ce vendredi lors du Comité interministériel de crise qui s'est tenu au ministère de l'Intérieur.
"Le ministre de l'Intérieur aura à mobiliser des moyens supplémentaires", a assuré le président.
"Nous libérons à cette égard par une série de dispositions les forces et le Garde des sceaux s'assurera du suivi par une série de circulaires visant à la fois les majeurs et les mineurs qui ont pu être interpellés et seront déférés devant la justice dans les prochaines heures", a-t-il précisé.